dimanche 5 octobre 2014, par Catherine Fauré
Dès le mois de juillet, les femmes du groupement karité ont cherché à ramasser le plus de noix de karité possible.
Les noix sont rares cette année, et les femmes ont dû aller assez loin du village pour arriver à en ramasser une quantité suffisante.
Dépulpage, ébouillantage, séchage des noix bouillies au soleil.
En attendant la fabrication du beurre de karité, ces noix peuvent maintenant se conserver plusieurs mois dans des sacs en jute dans un endroit aéré.