Novembre : présence de bénévoles àKatibougou, aux côtés des permanents

Une première semaine à Katibougou

Plusieurs bénévoles sont présents (en plus des permanents) :

Camille qui est venue découvrir l’Afrique en proposant d’aider les enfants de l’école, elle est un peu déçue car les enfants ne parlent pas français. Suite à ses remarques nous envisageons une petite note d’accueil sur le site web pour mieux préciser nos conditions de vie à Katibougou.

Claire qui travaille sur le commerce équitable et aide les femmes du village à se préparer pour les marchés de Noël de Bamako.

Hugues qui s’occupe de la production du beurre de karité et de l’assainissement.

Ellen, un néerlandaise qui a apprit des rudiments de bambara et fait l’école, en accord avec le Directeur, à un groupe de 18 enfants sous la paillote.

Françoise une infirmière qui connait un peu l’Afrique et va rencontrer les femmes en accord avec l’infirmier et la matrone. Cela nous aidera peut être à mieux cerner les problèmes de santé des villageois et à apprécier dans quelles mesures nous pourrons intervenir et les aider.

Mon arrivée : J’ai trouvé les locaux très agréables à vivre avec de la végétation le long des façades et les arbres plantés qui donneront de l’ombre dans quelques années. La vérité est beaucoup plus belle que ce que les photos nous disent.

Notre concession est propre, Seydou est une véritable fourmi, toujours occupé. Le magasin et l’atelier de Moussa sont rangés.

Ma chambre manque d’équipement de rangement, j’en profite pour faire un bilan des besoins pour prévoir un aménagement « standard »avec l’accord du bureau ( miroir, petite table, chaise, placard penderie). Idem pour les salles d’eau ou il faut mettre des patères murales et une tablette sous le miroir. Suite à l’incident électrique survenu cet été, nous élaborons des consignes électricité en accord avec nos salariés pour éviter ce type de dysfonctionnement. Elle sera portée à la connaissance du bureau. D’autres documents sont en cours d’élaboration suite aux dialogues avec les volontaires.

Avec Hugues nous suivons le travail des femmes sur le beurre de Karité. Beaucoup de choses peuvent et doivent être améliorées, elles semblent être de bonne volonté, à nous de ne pas les décevoir.